Avant l’ouverture de la 11ème édition du festival des musiques urbaines d’Anoumabo (femua) ce 17 avril, les promesses faites par son commissariat général et la fondation magic system ont été réalisées pour le bien-être des populations et des enfants
« Quand Dieu te permet d’exceller dans ton domaine, il faut aider… L’Etat ne peut pas tout faire … » a déclaré Traoré Salif dit Asalfo lead vocal du groupe magic system par ailleurs président de la fondation dudit groupe, le 13 avril dernier lors de l’inauguration d’une école primaire à Séguéla. Une semaine plutôt le 7 avril , Asalfo inaugurait une maternité à Loulo, dans le nord de la Côte d’Ivoire.
Ces infrastructures offertes par le groupe magic system au travers de sa fondation sont la matérialisation de promesses faites par le groupe et le commissariat général du femua lors de la 10ème édition de ce festival en 2017. Ces différents dons ont été réalisé en prélude à la 11ème édition du femua qui se déroulera du 17 au 22 avril 2018.
Maternité, écoles, hôpitaux, bibliothèques sont entre autres les réalisations qu’offrent ce groupe de zouglou depuis quelques années aux populations mais surtout aux enfants. Si ces artistes n’en n’ont pas bénéficié durant leur enfance dans le quartier populaire d’Anoumabo, ils ont décidé de l’offrir aux futures générations contribuant ainsi à leur bien-être mais également à leur éducation.
Le quartier d’Anoumabo qui a vu grandir le groupe magic system; l’institut nationale de la jeunesse et des sports (injs) et l’institut français vibreront durant six jours au rythme du femua qui a pour thème « la jeunesse africaine et l’immigration clandestine ».
Plusieurs célébrités internationales telle que Soprano, Lokoua Kanza sont présentes pour l’évènement. Les artistes locaux comme Sidonie la tigresse et Luckson Padaud sont également attendus.
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